Point forts
Vers une démocratie apaisée, inclusive et tournée vers l’avenir
Favoriser l’unité dans la diversité
Neutraliser l’égo en politique (surtout au sein du pouvoir exécutif), favoriser des décisions collégiales prises selon certaines modalités, et la suppression des partis politiques et des campagnes électorales, permettront de pacifier la vie politique et, par une saine contagion, de renforcer l’unité du pays.
Le mode de consultation utilisé pour toute décision significative (basé sur la collégialité et la recherche d'unanimité) confèrera à cette décision une adhésion du peuple beaucoup plus forte. Nos élu.e.s ne pouvant plus être assimilé.e.s à un parti ou à une idéologie, la confiance qu’on leur porte en sera renforcée. Des décisions difficiles et audacieuses auront ainsi plus de chance d’être acceptées par le peuple.
Ce point est primordial ! Il peut garantir la paix civile et l’on en aura besoin par les temps difficiles qui s’annoncent.
Plus d’implication citoyenne
Le peuple sera plus souvent invité à contribuer à l’élaboration des politiques, ce qui permettra de revivifier la démocratie.
Nouvelles marges de manœuvre financières
Grâce à une réduction drastique du coût de fonctionnement de la démocratie actuelle (suppression des campagnes électorales, de la présidence de la République et du sénat), les sommes économisées pourront être allouées à d'autres dépenses plus prioritaires et à la réduction de la dette.
Renforcement de l’indépendance des pouvoirs
L’absence de partis politiques permettra à la Justice de fonctionner en toute indépendance sans que des juges puissent être soupçonnés de favoritisme partisan.
Prise en compte des générations futures
Parmi les décisions les plus difficiles à prendre sont celles qui impacteront les générations futures et qui rencontrent l'hostilité des générations présentes. Libérée des politiciens professionnels, la démocratie 2.0 pourra prendre des décisions audacieuses qui ne dépendront plus de la perspective d'une réélection mais qui s'attacheront à l'intérêt général.
Finie l’obligation qui incombaient aux politiciens professionnels de la démocratie 1.0 de satisfaire en priorité leur parti et leur électorat.